Pour l'Education, Macron a trouvé pire que Najat Vallaud-Belkacem
Lu sur Agoravox :
Cette personnalité centrale d’En Marche, membre de la garde rapprochée de Macron et potentielle ministre de l’éducation en cas d’élection de ce dernier,
a de quoi inquiéter les Français soucieux de préserver une certaine
idée de la France, ainsi que de ne pas livrer la France aux idéologies
mortifères. [...]
En effet, cette franco-algérienne, née à Ksar Sbahi en Algérie de
parents fervents militants du FLN et sénatrice PS de Paris depuis près
de 15 ans, n’a jamais caché son militantisme pro-islam. [..]
L'idéologie portée par Bariza Khiari est un danger pour la République, car sa proximité avec le CCIF, et notamment avec l’inénarrable Marwan Muhammad,
est révélatrice de ce double discours insidieux que pratique à
merveille une certaine frange de l’élite de la communauté musulmane.
Pour rappel, en 2011, Bariza Khiari déclarait que pour elle, « le problème ce n’est pas Tariq Ramadan, c’est le gouvernement ». Cette
phrase venant exempter Tariq Ramadan de toute logique idéologique
tendant à paver la voie à l’islamisme a de quoi surprendre. [...]
Pour la sénatrice PS, parler d’islam revient de facto à « créer des peurs » en
agitant le chiffon rouge de l’immigration, et en procédant à des
raccourcis fallacieux entre religion et fondamentalisme. [...] Et à ce
titre, cette proche de Macron et future ministrable, s’est gravement
fourvoyée il y a quelques mois dans un appel publié dans le JDD en
faveur d’une réflexion sur la place de l’islam en France.
Dans cet appel publié fin
juillet 2016, et impulsé par Bariza Khiari, 42 « intellectuels »
musulmans se déclarent être prêt à « assumer [leurs] responsabilités »
en matière de réflexion autour de la structuration de l’islam.
Si l’on excepte le flou
inhérent à cet appel, et la confusion des genres tiraillant ce discours
qui oscille perpétuellement entre politique et religieux, c’est
surtout l’absence de toute référence aux victimes juives des attentats
qui ont touché la France au cours de ces dernières années qui a suscité
l’émoi.
Alors que cet appel débute par
une énumération des différents attentats ayant ciblé notre territoire,
n’importe quel lecteur est très vite interloqué et choqué par l’absence
de tout hommage aux victimes de l’école Ozar Hatorah à Toulouse et aux
victimes de l’HyperCacher de Vincennes. [...]
Dans Non je ne me tairai plus, livre publié le 8 mars de cette année, Amine El Khatmi, élu socialiste et musulman montre la face cachée des collusions entre une certaine élite socialiste et l’islamisme radical.
Pour cet élu, difficilement soupçonnable d’islamophobie, les
socialistes tendent à nouer des pactes du diable avec des acteurs
ouvertement antirépublicains.
« Sur des questions aussi
fondamentales que celles de la laïcité et de la résistance au
communautarisme, les socialistes ne sont pas en ordre de bataille. Sur
le terrain, des élus passent des compromis inacceptables »écrit le jeune élu socialiste.
Parmi les élus accusés de collusion avec l’islamisme radical par Amine El Khatmi on retrouve notamment la fameuse Bariza Khiari, qui a été vice-présidente du Sénat lorsque celui-ci est tombé à gauche pendant 3 ans (2012-2015).
L’auteur explique ainsi que
des élus locaux et des parlementaires ont trouvé la parade pour financer
des lieux de culte sans enfreindre l’article 2 de la de 1905, qui
précise que la République ne reconnaît ni ne subventionne aucun culte
Pour contourner cette loi majeure de notre République, certains
élus versent leurs subventions à des associations présentées
officiellement comme engagées dans un combat uniquement culturel, mais
qui poursuivent en réalité une finalité bien plus perfide et sournoise :
mettre en place des montages financiers complexes pour financer la
création de mosquées grâce à de l’argent public.
Archétype même de ces
montages financiers complexes, l’Institut des Cultures d’Islam dirigé
par Bariza Khiari est révélateur de ces pratiques qui bafouent
ouvertement les valeurs républicaines. De
concert avec Anne Hidalgo, toujours aussi complaisante à l’égard
d’acteurs qui gravitent pourtant dans des sphères foncièrement
islamistes, Bariza Khiari a fait voler en éclats les frontières entre
culturel et cultuel.
L’ICI est situé dans le XVIIIe
arrondissement de Paris, et cohabite en son sein une école où est
enseigné l’arabe littéraire et…une salle de prière pilotée par la Grande
Mosquée de Paris, mais financée par de l’argent public. Interrogée en
septembre 2016 par Bernard de La Villardière dans le cadre de son
émission « Dossier Tabou »,Bariza
Khiari, acculée par les faits manifestes etincontestables, reconnaîtra
du bout des lèvres que le centre, financé par la municipalité de Paris,
est bel et bien une seconde mosquée de Paris. [...]"
Elle est déléguée nationale du mouvement En marche !
Une bonne recrue dans ce parti de « nouveautés » !
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